Alors que les plans de mobilité sont une obligation depuis le 1er janvier 2018, les entreprises qui y sont soumises rechignent à y satisfaire. En cause, des sanctions qui restent symboliques, mais aussi une perception difficile de ce que cela peut apporter concrètement en termes de résultats.
Lorsque beaucoup voient l’obligation légale comme la partie émergée de l’iceberg, s’intéresser très sérieusement à sa partie immergée permet d’obtenir des bénéfices et réussir une transition vers une mobilité plus vertueuse et plus économique.

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